La relativité des choses ou le recentrage positif

Le monde fait face à l’une des plus grandes crises sanitaires de son histoire moderne et il y aura malheureusement encore beaucoup de drames et déconvenues à ce sujet ces prochaines semaines et mois.

La pandémie a déjà mis à plat les principales places économiques, a obligé la moitié de l’humanité à se confiner et à réduire au maximum les interactions avec autrui sans parler des familles endeuillées par la mort d’un proche.

Par principe et philosophie personnelle, demeurons néanmoins positifs et écartons les grincheux, les critiques et les négatifs : il y en aura toujours mais le problème est qu’ils font généralement beaucoup trop de bruit…

Les institutions fonctionnent, les autorités prennent des décisions courageuses et les acteurs indispensables à la vie de tous les jours sont à l’œuvre. Nous ne pouvons que les féliciter et les remercier pour leur travail remarquable en faveur de toute la population.

Aussi par respect pour leur engagement, nous devrions penser déjà un peu à la suite, quand les mesures de confinement seront levées progressivement, une suppression en « un bloc » étant quasiment exclue.

Le monde aura assurément changé et surtout, nous serons tous plus riches d’une expérience extraordinaire, dans le sens « sortant de l’ordinaire ». Saurons-nous profiter de nos semaines de confinement pour repenser nos modèles d’affaires, nos approches du marché, la globalisation, les voyages, nos relations aux autres ?

Il serait faux d’attendre la reprise des affaires pour commencer à nous recentrer et aborder notre environnement de manière plus simple, plus pragmatique. Il faut commencer ces réflexions dès maintenant.

Ce « nouveau » monde-sera-t-il moins démonstratif ou moins « prétentieux » que le précédent ? L’avenir nous le dira.

Une chose est sure : cette crise montre la fragilité du monde, de nos systèmes, et d’une certaine manière, de nos démocraties. Cette pandémie relativise toutes les autres préoccupations parfois futiles et illusoires, et replace un « je » par un « nous » dans nos priorités. Quand la vie et la santé deviennent des enjeux planétaires, on peut rêver à un monde peut-être meilleur et surtout plus sain à défaut d’être plus égalitaire.

Soyons fous, soyons prévoyants et précurseurs mais d’abord, prenons soin de nous !

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